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a c j i à r ne r sur ces êtres inertes ppur les dépouiller de leurs
haillons e^*les violer pendant qu'elles rendaient le-dernier
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oup i r . En ai-je vu sur la longue route de ces cadavres tantôt
Fnus, tantôt demi-nus* en des poses indécentes^Desyiauvagës
délirants, assouvis, avaient même enfonc^des morceaux de
bois dans leur corps... Ma plume se refuse à en dire davan–
tage.
Fonds A.R.A.M