sance personnelle des principaux hommes
d'Etat qui dirigent les affaires en Turquie,
m'avaient mis à même de recueillir.
Le succès, je puis le dire, dépassa mon at –
tente- Agréées par l'Institut (Académie des
sciences morales et politiques), à la suite d'un
rapport de M. Blanqui, conçu dans les termes
les plus bienveillants et les plus honorables;
reproduites et analysées par les principaux
organes de la presse en France, en Angle–
terre, en Allemagne, en Italie; empruntées par
tous les recueils scientifiques ou encyclopédi–
ques de ces contrées, notamment par
XAlma-
nach de Gotha,
qui y a puisé, en les citant, la
presque totalité de son article
Turquie;
ache–
tées par les ministres des affaires étrangères,
de la guerre, de la marine, de l'agriculture et
du commerce, pour le compte de leurs dépar–
tements, les
Lettres sur la Turquie
sont deve–
nues une sorte de
Guide
officiel pour tout ce
qui concerne la statistique et l'état présent de
l'empire ottoman.
Lorsqu'il s'agit d'un pays comme la Tur–
quie, sur lequel tant de préjugés, je pourrais
Fonds A.R.A.M