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Et M . Léopo l d Favre , q u i a visité Adana au mo i s
de novemb r e , d i t de son côté :
Je suis monté avec M. Chambers sur la terrasse de
sa maison et de là i l m'a expliqué la topographie de la
v i l l e , la marche des attaques, les progrès des incen–
dies. Devant nous s'étend à très peu de distance, toute
une ville de pans de murs no i r c i s ; de grands sque–
lettes d'églises dominent tout le reste. C'est un chaos
de ruines...
Fonds A.R.A.M