DAVTAK
KERTOGH
La main qui se crispa au meurtre de son maître,
Les pieds qui foulèrent l'image merveilleuse,
Ils se dessécheront, ataqués par la lèpre,
Sans pitié les vautours le déchiquetteront.
Il se réfugiera en rampant sous les ronces,
Aura pour compagnie les petits des vipères
Le venin des serpents s'écoulera sur lui,
Boursouflé à l'extrême il en éclatera.
Lui, qui pour nous était la lumière de paix,
Etait celui qui calmait le courroux des vagues.
Le vaillant Djivanchire était le capitaine
Et dissipait chez tous les prisonniers, l'angoisse...
(
Marc
Delouze.)
Fonds A.R.A.M