ration, vous venez de dédier aux volontaires arméniens qui combattent
sous les drapeaux français.
J'ai été très sensible à votre attention et je vous en exprime tous mes
remerciements.
Agréez, Monsieur, l'assurance de mes sentiments les plus dis–
tingués.
Louis BARTHOU.
CHAMBRE DES DÉPUTÉS
Paris, le
6
septembre
1917.
Cher Monsieur,
J'ai reçu avec le plus grand plaisir le livre que vous avez eu l'ama–
bilité de m!offrir et je l'ai lu avec un vif intérêt.
Nous ne perdons pas de vue les questions arméniennes; vous savez
que nous défendrons toujours les intérêts de votre malheureux pays et
que nous combattrons pour lui comme les vôtres sont venus combattre
aux côtés de nos soldats.
Veuillez croire, cher Monsieur, à mes sentiments les meilleurs.
Marius MOUTET.
Paris, le
17
août
1917.
Henri COULON
Avocat à la Cour d'Appel
Avec ses remerciements, ses amitiés et l'assurance qu'il continuera
de lutter de toutes ses forces pour la juste cause de l'Arménie.
Henri COULON.
Amiens, le
14
août
1917.
Cher Monsieur,
On me communique votre lettre sur le front anglais où je me trouve
en ce moment, mais non votre livre, qui est resté, sans doute au jour–
nal; je le lirai avec le plus grand intérêt.
La cause des Arméniens m'est chère; quant à ce que j'écris, bien
entendu, tout ce qui paraît est à votre service.
Merci et tous mes sentiments les meilleurs.
Pierre M I L L E .
Le Gaulois
Paris, le 7 août
1917.
Monsieur,
Vous connaissez assez les sentiments et les idées de M. Arthur
Meyer et les opinions qu'il défend dans son journal pour être assuré
Fonds A.R.A.M