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belle manifestation
de confraternité des peuples arménien et
pleinement réussi.
Je saisis cette occasion pour vous assurer que je négligerai rien a
de contribuer au développement des relations cordiales qui e
entre nos deux peuples et vous prie, Monsieur, d'agréer l'expression
de ma considération très distinguée.
Je suis en possession de votre honorée du
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courant et c'est p
votre entremise que je remercie les volontaires arméniens.
Le contenu de votre lettre a été publié dans le journal
Nia-Hellas,
et
je vous envoie ce journal par le même courrier.
Soyez certain que tout le peuple hellène ressent vivement les liens
fraternels qui l'unissent au peuple arménien, et ce qui confirme m
assertion, c'est que le représentant de la Grèce au Congrès de la P
le grand Venizelos, défendra la cause arménienne.
Rien ne sépare les deux peuples, et j'espère que le Congrès de la
Paix, inspiré par les principes de démocratie, reconnaîtra le
ces peuples qui, la main dans la main, marchent fraternellement
vers
le progrès et la civilisation.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de ma parfaite considérat
Le Consul général,
F
RANGHISTAS.
Athènes, le
28
janvier
1919.
Monsieur,
Georges D.
S
TAMATIS,
Député.
Fonds A.R.A.M